En Hollandie : la peine de mort médiatique existe. Dissidents la diabolisation vous guette !

Hollandie : dissidents la diabolisation vous guette !
Ceci est un avertissement à tous les européens qui auraient décidé de s’élever contre le système médiatique, et plus particulièrement un avertissement aux Français, qui se lèvent contre la tyrannie socialiste.
En effet, qui que vous soyez, si vous voulez vous dresser contre les pseudo-élites et leurs dogmes, attendez-vous à être dénigré, mis au pilori, insulté, menacé, méprisé et oublié. Les médias n’aiment pas qu’on remette en cause les fondements de la pensée unique et ils disposent d’un excellent moyen de dissuasion : la diabolisation.
Le dernier à en avoir fait les frais, est le philosophe, Alain Finkielkraut. La parution de son dernier ouvrage « L’identité malheureuse », dans lequel il explique que l’identité française est en danger, et que le modèle d’intégration à la française a échoué, a fait grincer des dents. Mais c’est surtout, une de ses déclarations qui a mis le feu aux poudres. Alain Finkielkraut a effectivement déclaré sur France-Inter, je cite : « Je suis français, mais tout à fait aussi français qu’un français de souche », se référent ainsi à ses origines judéo-polonaises. Depuis, le philosophe participe à de nombreuses émissions, lors desquelles il est systématiquement qualifié de « réac », de « xénophobe », de « raciste » et accusé, de faire le jeu de l’extrême droite. Peu importe la chaîne ou l’émission, on retrouve sans-cesse les mêmes journalistes insolents et soucieux de rester en surface des sujets abordés.

Cet évènement n’est pas sans rappeler la diabolisation de Robert Ménard. Le fondateur de « Journalistes Sans Frontières » s’était fait le défenseur de la liberté d’expression, en faisant sienne la phrase de Voltaire, je cite : « Je ne suis pas d’accord avec ce que vous dites, mais je me battrai jusqu’à la mort pour que vous ayez le droit de le dire ». Initialement de gauche, ayant pignon sur rue, son rapprochement des milieux identitaires et du Front National lui a été fatal, et Robert Ménard s’est retrouvé rapidement classé dans la catégorie des infréquentables.
Mais le processus de diabolisation ne s’applique pas uniquement à des intellectuels, toutes les personnalités dès qu’elles expriment leur opposition à l’idéologie socialiste, sont pour ainsi dire proscrites, et cela même si elles n’en sont pas forcément conscientes. Souvenez-vous d’Alain Delon, qui déclarait dans « C à vous » que le mariage gay était « contre nature ». Une telle déclaration, lui a valu d’être immédiatement rangé parmi les homophobes et les machos. Ou encore, Lorant Deutsch, à qui on a reproché l’utilisation de termes violents pour décrire la bataille de Poitiers. Mais comme tout le monde le sait, une bataille est un événement absolument paisible.
Fait nouveau, en ses temps de pression fiscale maximale, si vous choisissez de payer vos impôts ailleurs qu’en France, vous augmentez vos chances de finir comme Gérard Depardieu, c’est-à-dire traité de « minable » par un premier ministre transparent et incapable de susciter la confiance des Français. Gérard Depardieu a encore aggravé son cas, lorsqu’il a déclaré « La Russie est une grande démocratie » tout en dressant l’éloge de Vladimir Poutine. Le président russe, lui aussi, est un excellent exemple de diabolisation. Mais en Hollandie, c’est normal : la défense des traditions et des valeurs, les constats réalistes, les frontières, ce sont des choses qui agacent. Une démonstration supplémentaire, s’il en était besoin, du décalage croissant entre ces pseudo-élites et le peuple français. En dépit de pouvoir opposer des arguments sérieux et des résultats concrets aux critiques, l’oligarchie dominante en est réduite à utiliser la machine médiatique pour bâillonner ses opposants politiques et culturels. Diabolisation, désinformation, et autres accusations de phobies, ne sont que les coups bas d’un système décadent et condamné à s’écrouler.
Cependant, le système a ses limites comme le prouve l’exemple de l’humoriste Dieudonné. Agent du système, chantre de SOS Racisme et du combat contre le Front National, adulé parce que métisse, son talent importait presque moins que le rôle qu’on lui faisait jouer. Jusqu’au jour où, pour un simple sketch, plus ou moins drôle, mais un simple sketch, un lobby a exigé sa peau. Interdit d’antenne, interdit de salle, interdit d’expression, menacé physiquement par des milices confessionnelles, Dieudonné a pourtant rempli des salles combles, publié des vidéos vues plus d’un million 600 milles fois sur YouTube et il est devenu le porte-parole d’une France que l’on bâillonne. L’iniquité avec laquelle il est traité, pousse même ses confrères, comme le talentueux Alexandre Astier, à sortir du bois et prendre sa défense « au nom de la liberté d’expression ». Alors, ceux qui tagguaient les murs du quartier Latin, en mai 68, du slogan « il est interdit d’interdire » et qui sont aujourd’hui locataires des ors de la République, risquent de découvrir à leur dépends, que d’être plus permissifs avec les pédophiles que prudents avec les dissidents, vous conduit tôt ou tard à vous promener au bout d’une pique…