L’Ukraine face aux tentatives de déstabilisation : témoignage en direct de Kiew, de Laurent Ozon

Nous vous avons présenté dans nos précédentes émissions la situation difficile que traverse l’Ukraine, qui a refusé le piège tendu par l’Union Européenne, pour se tourner vers la Russie et ses partenaires de la CEI.

Depuis, l’opposition, financée par les fondations Soros et Rockefeller, et poussée par les instances dirigeantes de l’Union Européenne, tente un véritable coup de force antidémocratique pour contrainte le gouvernement élu, de revenir sur sa décision de rompre les discussions avec l’Union Européenne.

Présent en Ukraine depuis plusieurs jours, pour une série de conférences à l’Université de Kiew et auprès de différents partis politiques ukrainiens, Laurent Ozon est aujourd’hui sur la place de l’indépendance, où l’opposition espère réunir 1 million de personnes.

• Laurent Ozon, bonjour. Vous êtes en direct de Kiew, place de l’indépendance. L’opposition a-t-elle réussi son pari ?
• Les partis favorables à l’Union Européenne sont très divers, ils vont des ultra-libéraux aux nationalistes du Svoboda. Pourquoi cette illusion de l’Eldorado européen, pourquoi n’ont-ils pas été capables, comme le Jobbik hongrois, de tourner la page de l’URSS pour voir en la Russie leur véritable allié ?

Extrait
• Peut-on craindre une partition de l’Ukraine, avec une Crimée pro-Russe et un ouest européen ?

Extrait
• Merci Laurent Ozon pour votre témoignage.