Manifestation contre les Femen réussie : la France éternelle en première ligne, sans les partis politiques

À l’initiative de l’ancien eurodéputé, Bernard Antony, président de l’AGRIF, une manifestation publique a été organisée samedi, place Vauban à Paris, contre les Femen, qui se sont distinguées plusieurs fois par des agressions anticatholiques, des profanations et des déprédations de lieux de cultes. Des lieux de cultes tous catholiques bien évidemment, car leur hystérie — ou leurs appuis — s’arrêtent généralement aux portes des Mosquées et sur les parking des synagogues.

Les Femen ne sont rien d’autres que des prostitués de la culture de mort, protégées et soutenues, à la fois par des médias qui peuvent booster leur vente avec des topless qui font parfois pitié, et par des membres du gouvernements, comme les Valls, Peillon ou Taubira pour qui les Femen sont des agents provocateurs bien pratiques, pour pouvoir arrêter ceux qui s’opposeraient physiquement à leur provocation haineuse. Recherchées par les justices ukrainienne et russe pour des délits de droit commun, ces militantes punk, plus habituées des plateaux pornos que des bibliothèques des Facultés, ont trouvé en Hollandie des fonds, des locaux et des appuis, au point que leur égérie, Inna Shevchenko, est devenue la nouvelle Marianne de la Poste, sous le regard baveux d’un François Hollande tout émoustillé. Il n’a toujours pas compris qu’il n’avait aucune chance, puisque les Femen ne sont pas des féministes, mais bien des militantes lesbiennes. Ce n’est quand même pas tout à fait la même chose…

C’est pour dénoncer cette permissivité des autorités à l’égard d’une vingtaine d’hystériques, qui crée manifestement un trouble à l’ordre public si cher à Manuel Valls, que se sont succédées sur la tribune de nombreuses personnalités :
Carl Lang du Parti de la France,
Alain Escada de Civitas,
Jean-Pierre Maugendre de Renaissance Catholique,
Roger Holeindre du Cercle National des Combattants,
Béatrice Bourges du Printemps Français,
Daniel Hamiche de l’Observatoire de la Christianophobie,
Guillaume de Thieulloy du Salon Beige,
Vivien Hoch de l’Agrif,
Jane Smith du journal Présent,
Jérôme Triomphe et Frédéric Pichon, avocats de la Manif pour tous
Bref, tout ce que la France peut compter de défenseurs de la chrétienté. Ces résistants de longue date dans une république laïciste, forcenée et dissolue, ont pris la parole devant plusieurs milliers de personnes pour : exiger la dissolution du groupe terroriste des Femen — puisque c’est ainsi qu’elles se sont elles-mêmes définie —,
dénoncer la collusion des médias et des ministres en place, avec cette organisation
et enfin demander le renvoi des Femen dans leur pays d’origine, l’Ukraine, où la justice les attends.

Au-delà du simple cas des Femen, ces personnalités sont aussi intervenues pour exiger le respect qui est dû à la chrétienté, sur un sol européen. Si la France est aujourd’hui une république laïque, elle n’a pas toujours été que cela, et son histoire pluri-millénaires a longtemps fait d’elle, la fille aînée de l’église. C’est d’ailleurs en oubliant les valeurs portées par la civilisation gréco-chrétienne, que la république fatiguée des Valls et consorts devient totalitaire, immorale et permissive.

On peut regretter l’absence totale à cette manifestation, d’organisations politiques, à l’exception notable du Parti de la France. Une fois encore, après les Bonnets Rougesles Manifs pour Tous, les Jours de Colère, on note que ce sont les organisations civiles, les anonymes, les citoyens qui se battent en premières lignes contre la décadence et le reniement des valeurs européennes. Ni les organisations syndicales, ni les partis politiques dit représentatifs n’y participent ou tentent même de s’y raccrocher. Ils semblent totalement dépassés quand ils ne sont pas dans le camp adverse. Je vous propose d’écouter le témoignage de Carl Lang, le Président du Parti de la France, la seule formation politique présente.