Rapport gouvernemental sur l’immigration : ils sont devenus complètement fous, l’intégration des immigrés a échoué, alors ils veulent intégrer les Français.

C’est tellement gros qu’on se demande si ce n’est pas une provocation. Ou alors ils sont devenus fous. Le Premier Ministre français s’est fait remettre cinq rapports visant à une refondation de la politique d’immigration en France… Ils sont disponibles sur le site de Matignon et leur titres sont déjà tout un programme : « Connaissance, reconnaissance », « Faire société commune », « Mobilités sociales », « Protection sociale », « Intégration & habitat »… On pouvait s’attendre, compte-tenu des scores du Front National et des différents sondages, qui montrent que la population française en a clairement assez d’une immigration de peuplement, de remplacement même, que les mesures préconisées tendraient à faire baisser le feu sous une marmite au bord de l’explosion. Que neni.

L’intégration est un échec, à de rares exceptions personnelles. La masse des migrants, présente sur le sol français, n’a aucune envie de s’intégrer à une société permissive, sans valeurs et qui renie sa propre identité. Pourquoi voulez-vous que les migrants renient la leur, c’est parfois la seule richesse qu’ils ont pu emporté avec eux. Ils sont présents sur le sol européen, parce que l’Europe est faible. S’il n’y avait les avantages sociaux distribués par les États, compensant des salaires précaires accordés chichement par des sociétés intéressées par une main d’œuvre meilleur marché, que celle offerte par les populations autochtones, beaucoup iraient chercher fortune ailleurs. Dans leur pays d’origine, sans doute, s’ils n’étaient pillés et spoliés par les mêmes entreprises qui les font venir en Europe.

Mais ça, ce n’est pas compréhensible pour les cerveaux malades de Bobos pervers, qui eux savent ce qui est bien pour ces pauvres immigrés entassés dans des villes-dortoirs et ce qui est bien pour les ploucs réfractaires au métissage, et à l’apport des CPF, comprenez les Chances Pour la France. Comment une société moderne où chacun peut jouir sans entrave et consommer à crédit pourrait-elle ne pas subjuguer ces masses incultes et primaires venues de l’autre côté de la Méditerranée ? Vivre sans spiritualité, sans famille, sans morale, sans tradition, sans identité, n’est un modernisme que pour le monde unipolaire des sociétés anglo-saxonnes, et de leurs colonies européennes. Si les Bobos ne comprennent pas pourquoi, ils ont par contre bien compris que la sauce ne prenait pas. La faute à cette société française, qui s’accroche trop à son histoire et à sa race. Le Général de Gaulle, grand artisan de la décolonisation française, l’a dit en un temps pas si lointain, je cite : « C’est très bien qu’il y ait des Français jaunes, des Français noirs, des Français bruns. Ils montrent que la France est ouverte à toutes les races et qu’elle a une vocation universelle. Mais à condition qu’ils restent une petite minorité. Sinon la France ne serait plus la France. Nous sommes quand même avant tout un peuple européen de race blanche, de culture grecque et latine, et de religion chrétienne. Essayez d’intégrer de l’huile et du vinaigre. Agitez la bouteille. Au bout d’un moment, ils se sépareront de nouveau. Les Arabes sont les Arabes, les Français sont les Français. Vous croyez que le corps français peut absorber dix millions de Musulmans, qui demain seront peut-être vingt millions et après-demain quarante ? Si nous faisons l’intégration, si tous les Arabes et Berbères d’Algérie étaient considérés comme Français, comment les empêcherait-on de venir s’installer en métropole, alors que le niveau de vie y est tellement plus élevé ? Mon village ne s’appellerait plus Colombey-les-Deux-Eglises, mais Colombey-les-Deux-Mosquées ! ». Fin de citation.

Quarante ans après, les Bobos font le même constat, après bien des drames personnels et collectifs pour toutes les communautés. L’intégration est impossible. Mais incapables de se remettre en question, Ces Bobos en ont conclu que c’est l’intégration des immigrés qui est impossible. Donc, il faut intégrer les autochtones. D’où les propositions délirantes contenues dans les rapports présentés à Matignon, que je vous livre, sans commentaire.

Il faut assumer la dimension arabo-orientale de la France, notamment par une réécriture des livres scolaires pour une remise à plat de l’histoire de France, puisque, je cite « l’histoire enseignée se réfère à des figures incarnées qui demeurent très largement des grands hommes mâles, blancs et hétérosexuels ». Fin de citation.
Il faudra donc aussi enseigner l’arabe et les langues africaines à l’école, autoriser le port du voile y compris dans les enceintes scolaires. Mais aussi ouvrir les prestations sociales qui sont discriminantes, ne riez pas, comme l’Allocation de solidarité aux personnes âgées (ASPA) ou le RSA qui je cite : « ne sont servis aux assurés ressortissants étrangers que s’ils justifient d’un séjour régulier de 5 ans au moins ».

Enfin, pour bien marquer le ridicule de la situation, alors que le Premier ministre Ayrault a déclaré je cite, que « La bataille pour l’intégration, c’est la bataille pour le modèle républicain » au moment de la remise du rapport, le rapport lui-même préconise de mettre un terme à l’utilisation du mot « intégration », puisque, je cite à nouveau :  « symboliquement, l’abandon du terme intégration peut constituer un signal fort pour celles et ceux qui sont soumis à cette injonction au quotidien et à tort ».
« Et à tort »… C’est bien ce que constatent les Français, après 40 ans de politique suicidaire. Mais ils n’ont pas l’air de vivre dans la même société que ceux qui rédigent les rapports de Matignon.