La théorie du “Gender” sera imposée à tous… quitte à interdire l’école à la maison

La France deviendrait-elle une dictature ? La formule peut paraitre extrême, voir galvaudée, mais petites touches par petites touches, le Gouvernement français suppriment des libertés, au profit du conditionnement des masses, que n’auraient pas renié les dictatures les plus virulentes. Dernière cible en date, l’école à la maison. En France, la scolarité est obligatoire pour tous les enfants jusqu’à 16 ans. La scolarité, pas l’école. Si on veut d’ailleurs mesurer l’excellence de la scolarité en France, on trouve au bas de l’échelle l’école publique, puis l’école privée, puis les écoles hors contrat, puis les élèves scolarisés à domicile. Leur niveau d’excellence était si flagrant que les élèves des deux dernières catégories raflaient toutes les premières place du Concours Général avant… d’en être exclu. Les prétextes sont toujours les mêmes : lutter contre les sectes, la dé-sociabilisation et j’en passe. Bien sûr, à l’école de la république, point de conditionnement et point de sectarisme.

Que cette interdiction soit envisagée, au moment où Vincent Peillon veille à l’introduction de la théorie du genre — gender en anglais —  dans les écoles de la République, n’a pourtant rien d’anodin. Le principe de cette théorie, initiée au Etats-Unis par des militantes lesbiennes, s’appuie sur la distinction radicale chez la personne humaine entre son sexe biologique et son identité sexuelle. Si le sexe biologique est déterminé dès la naissance, l’identité sexuelle est, selon le manuel Hachette,« la perception subjective que l’on a de son propre sexe et de son orientation sexuelle » fin de citation. Il est le fruit d’un climat culturel et d’un conditionnement social. Le garçon qui se rue sur un camion et la petite fille sur une poupée, serait ainsi le résultat de représentations sociales transmises, sans lien avec le sexe biologique. L’être humain doit donc demeurer libre de construire sa propre identité sexuelle. Indépendante de l’identité sexuelle de la personne, l’orientation sexuelle devrait quant à elle être un choix totalement libre selon ses désirs. C’est une théorie, nullement un fait scientifique. Elle prend les enfants comme cobaye, et a surtout pour but de faire des garçons des filles comme les autres… Car c’est avant tout une négation de la virilité. Beaucoup de pays, comme la Norvège, font marche arrière devant les dégâts provoqués chez les enfants et les adolescents par cette propagande visant à faire accepter comme une normalité, les relations anti-naturelles.

Plus les contre-enquêtes sur la théorie du Gender sont sérieuses, plus on s’aperçoit qu’il faut éduquer les filles et les garçons dans une différence assumée et respectueuse. Les filles et les garçons ne fonctionnent pas à l’identique. L’éventail des comportements est plus large que les stéréotypes convenus mais ces comportements ne se superposent pas. D’ailleurs l’indifférenciation n’invoque aucun respect particulier, la différence oui. Dans ces sociétés malades du XXIe siècle, il est parfois ahurissant de devoir rappeler des principes sains qui ont été à la base de nos plus belles civilisations…L’imposition du Gender n’est pas un fait français. C’est une volonté imposée aux nations. Comme c’est le cas en Suisse, où dans le canton de Bâle, des «Sexbox» contenant du matériel pornographique ont été préparées à l’intention des écoles maternelles et primaires ! Où encore en Allemagne, où des parents on été mis en prison 40 jours pour avoir refusé que leurs enfants suivent ces cours. C’est bien la famille, en tant que cellule de base de notre civilisation européenne, qui est visée. Le droit à la scolarité à la maison est donc un des actes de résistance possibles contre l’utilisation de nos enfants comme cobayes sexuels. Que vos enfants soient concernés ou non, vous pouvez exiger le maintien de ce droit en signant la pétition en ligne à l’adresse qui s’affiche au bas de votre écran.